Les traditions musulmane, chrétienne et l'ancien testament
(bible juive) annoncent l'arrivée d'un horrible personnage qui mettra la paix
mondiale en péril: El Massih Edadjal ou l'Antéchrist.
Puisque Benjamin Netanyahou et Donald Trump évoquent l'histoire biblique pour affirmer
Puisque Benjamin Netanyahou et Donald Trump évoquent l'histoire biblique pour affirmer
qu' El Qods (Jérusalem) est la capitale éternelle d'Israël,
allons- y jusqu'au bout dans l'argumentaire historico-religieux pour dire tout
ce que prédisent les Ecritures saintes et les traditions autant musulmanes que
judéo-chrétienne comme danger et menace potentielle sur la paix en ce monde.
Les trois religions et traditions avertissent l'humanité sur l'avènement
annonciateur de « la fin des temps» d'un horrible personnage doté d'un grand
pouvoir exceptionnel qui mettra en péril la paix entre les peuples et nations :
El Massih Edadjal dans la tradition islamique ou l'Antéchrist dans le
christianisme et l'ancien testament. Cet homme doté d'une grande puissance et
d'un pouvoir particulier se proclamera prophète de son temps et sèmera
malheurs, divisons entre les peuples et guerres entre nations. Il mettra en
péril la paix et la survie de l'humanité et ne sera arrêté dans sa funeste
mission, selon les hadiths islamiques et les traditions des trois religions
monothéistes, que par le retour du vrai messie, soit le prophète Issa
(Jésus-Christ).
La tradition islamique décrit ce personnage sous des traits de laideur, pratiquant un langage grossier, provocateur emplie de haine. Les sources religieuses ajoutent que cet «imposteur» usurpera le «pouvoir» avec l'aide d'un groupe de ses fidèles, tous animés par le ressentiment de la vengeance et du vertige du pouvoir. Ainsi, légende ou pas, l'histoire de l'apparition du Massih Edadjal ou Antéchrist nous renvoie immanquablement à nous interroger sur les périls réels qui pèsent sur le monde, Donald Trump, par son comportement et ses actes ainsi que ses soutiens Netanyahou et les ultra-sionistes. C'est que le lieu d'où entamera cet «imposteur» sa menace potentielle contre la paix dans ce monde est, selon encore une fois les trois traditions des trois religions monothéistes, El Qods (Jérusalem). Lieu de toutes les passions et croyances, El Qods cristallise toutes les attentions et tensions du reste du monde. Donald Trump n'est pas un «imbécile» ou un «crétin» comme le présente une certaine presse. Il sait très bien ce que représente El Qods pour les peuples du monde, croyants ou pas. Il sait qu'en mettant au centre du jeu politique et diplomatique El Qods, il sèmera la discorde et des tensions entre peuples et nations.
Donald Trump et son «frère» Netanyahou ont bien pesé la question avant d'aller à la provocation du reste du monde: les guerres injustes et meurtrières qui ont frappé ces dernières années la région du Proche et Moyen -Orient ( Irak, Syrie, Yémen et bien sûr le martyr des palestiniens de Gaza notamment) sont propices à augmenter les tensions et haines entre musulmans, chrétiens et Juifs en jouant sur les passions et en mettant en concurrence les croyances et cultures. Soit en faisant la promotion de la théorie de la guerre des religions et par extension celle des civilisations. Et les traditions des trois religions affirment que l'avènement du Masih Edadjal sera précédé par des tensions, violences et guerres particulièrement dans les environs géographiques d'El-Qods, soit les Proche et Moyen-Orient. Légende ou pas, Donald Trump épouse parfaitement les traits de l'Antéchrist ou du Masih Edadjal. Au-delà de la légende rapportée par les saintes Ecritures, la Communauté internationale peut s'inquiéter sérieusement sur les buts recherchés par Trump et le gouvernement extrémiste de droite de Netanyahou. Le mouvement de réprobation et de condamnation qui secoue le monde, en particulier musulman, n'est que les prémices de lendemains incertains et dangereux pour l'humanité entière. Car, détrompons-nous, la proclamation et l'annexion d'El -Qods comme capitale du «seul» était d'Israël ne s'arrêtera pas aux simples condamnations des gouvernements et organisations internationales.
Derrière les réactions officielles, il y a les peuples et leurs passions. L'idéal est que le reste du monde, plus spécialement le monde musulman, ne tombe pas dans le piège ténébreux tendu par Donald Trump en usant de la violence. Hélas, il se trouvera toujours quelques extrémistes, fous de Dieu et autres nazillons qui se manifesteront par leur violence coutumière. Donald Trump et Netanyahou mettent au chantage le monde en plaçant la question d'El-Qods (et de la Palestine) au centre des passions et des mémoires historico-religieuses. Evacuant ainsi de fait la dimension purement coloniale de la Palestine. L'on sait jusqu'où peuvent aller les passions autour des questions de mémoires collectives, des héritages religieux et des cultures identitaires et communautaires. Face à l'abject chantage de Donald Trump, la communauté internationale n'a d'autre alternative que celle du boycott et de l'isolement diplomatique d'Israël et, oui c'est possible, de Donald Trump et son gouvernement. A ce jour, le reste du monde ne semble pas suivre la logique catastrophique de Trump et aucun pays n'a annoncé le transfert de son ambassade à El- Qods. Il reste les pays arabes voisins d'Israël comme l'Egypte et la Jordanie de prononcer, au moins pour le principe, la suspension des accords de paix signés avec l'Etat hébreu.
La Turquie de Tayep Erdogan semble aller dans ce sens. Quant aux autres pays tels le Maroc, le Qatar et récemment l'Arabie saoudite, un sursaut de dignité est plus que nécessaire pour qu'ils revoient les relations «cordiales» qu'ils entretiennent avec Israël. Seule donc une attitude forte et intransigeante envers l'usurpation sioniste et l'agression d'El Qods peut amener Trump et Israël à se rendre à l'évidence de l'inéluctabilité d'une Palestine libre et indépendante avec El-Qods (Est de Jérusalem) comme capitale. C'est à dire pousser Trump et Israël au respect du droit international et aux nombreuses résolutions du Conseil de sécurité de l'Onu. En clair sortir de la logique et de l'argumentation historico- religieuse du peuple juif justifiant son occupation de la Palestine et revenir à la raison et à la légalité internationale. Dans le cas contraire une escalade et une surenchère «passionnelle», alimentée par les ultras religieux de tous bords guette le monde ou du moins le plongera dans une instabilité violente, apocalyptique. Et Donald Trump sera bien El Massih Edadjal, l'Antéchrist annonciateur des derniers temps de paix de l'humanité.
La tradition islamique décrit ce personnage sous des traits de laideur, pratiquant un langage grossier, provocateur emplie de haine. Les sources religieuses ajoutent que cet «imposteur» usurpera le «pouvoir» avec l'aide d'un groupe de ses fidèles, tous animés par le ressentiment de la vengeance et du vertige du pouvoir. Ainsi, légende ou pas, l'histoire de l'apparition du Massih Edadjal ou Antéchrist nous renvoie immanquablement à nous interroger sur les périls réels qui pèsent sur le monde, Donald Trump, par son comportement et ses actes ainsi que ses soutiens Netanyahou et les ultra-sionistes. C'est que le lieu d'où entamera cet «imposteur» sa menace potentielle contre la paix dans ce monde est, selon encore une fois les trois traditions des trois religions monothéistes, El Qods (Jérusalem). Lieu de toutes les passions et croyances, El Qods cristallise toutes les attentions et tensions du reste du monde. Donald Trump n'est pas un «imbécile» ou un «crétin» comme le présente une certaine presse. Il sait très bien ce que représente El Qods pour les peuples du monde, croyants ou pas. Il sait qu'en mettant au centre du jeu politique et diplomatique El Qods, il sèmera la discorde et des tensions entre peuples et nations.
Donald Trump et son «frère» Netanyahou ont bien pesé la question avant d'aller à la provocation du reste du monde: les guerres injustes et meurtrières qui ont frappé ces dernières années la région du Proche et Moyen -Orient ( Irak, Syrie, Yémen et bien sûr le martyr des palestiniens de Gaza notamment) sont propices à augmenter les tensions et haines entre musulmans, chrétiens et Juifs en jouant sur les passions et en mettant en concurrence les croyances et cultures. Soit en faisant la promotion de la théorie de la guerre des religions et par extension celle des civilisations. Et les traditions des trois religions affirment que l'avènement du Masih Edadjal sera précédé par des tensions, violences et guerres particulièrement dans les environs géographiques d'El-Qods, soit les Proche et Moyen-Orient. Légende ou pas, Donald Trump épouse parfaitement les traits de l'Antéchrist ou du Masih Edadjal. Au-delà de la légende rapportée par les saintes Ecritures, la Communauté internationale peut s'inquiéter sérieusement sur les buts recherchés par Trump et le gouvernement extrémiste de droite de Netanyahou. Le mouvement de réprobation et de condamnation qui secoue le monde, en particulier musulman, n'est que les prémices de lendemains incertains et dangereux pour l'humanité entière. Car, détrompons-nous, la proclamation et l'annexion d'El -Qods comme capitale du «seul» était d'Israël ne s'arrêtera pas aux simples condamnations des gouvernements et organisations internationales.
Derrière les réactions officielles, il y a les peuples et leurs passions. L'idéal est que le reste du monde, plus spécialement le monde musulman, ne tombe pas dans le piège ténébreux tendu par Donald Trump en usant de la violence. Hélas, il se trouvera toujours quelques extrémistes, fous de Dieu et autres nazillons qui se manifesteront par leur violence coutumière. Donald Trump et Netanyahou mettent au chantage le monde en plaçant la question d'El-Qods (et de la Palestine) au centre des passions et des mémoires historico-religieuses. Evacuant ainsi de fait la dimension purement coloniale de la Palestine. L'on sait jusqu'où peuvent aller les passions autour des questions de mémoires collectives, des héritages religieux et des cultures identitaires et communautaires. Face à l'abject chantage de Donald Trump, la communauté internationale n'a d'autre alternative que celle du boycott et de l'isolement diplomatique d'Israël et, oui c'est possible, de Donald Trump et son gouvernement. A ce jour, le reste du monde ne semble pas suivre la logique catastrophique de Trump et aucun pays n'a annoncé le transfert de son ambassade à El- Qods. Il reste les pays arabes voisins d'Israël comme l'Egypte et la Jordanie de prononcer, au moins pour le principe, la suspension des accords de paix signés avec l'Etat hébreu.
La Turquie de Tayep Erdogan semble aller dans ce sens. Quant aux autres pays tels le Maroc, le Qatar et récemment l'Arabie saoudite, un sursaut de dignité est plus que nécessaire pour qu'ils revoient les relations «cordiales» qu'ils entretiennent avec Israël. Seule donc une attitude forte et intransigeante envers l'usurpation sioniste et l'agression d'El Qods peut amener Trump et Israël à se rendre à l'évidence de l'inéluctabilité d'une Palestine libre et indépendante avec El-Qods (Est de Jérusalem) comme capitale. C'est à dire pousser Trump et Israël au respect du droit international et aux nombreuses résolutions du Conseil de sécurité de l'Onu. En clair sortir de la logique et de l'argumentation historico- religieuse du peuple juif justifiant son occupation de la Palestine et revenir à la raison et à la légalité internationale. Dans le cas contraire une escalade et une surenchère «passionnelle», alimentée par les ultras religieux de tous bords guette le monde ou du moins le plongera dans une instabilité violente, apocalyptique. Et Donald Trump sera bien El Massih Edadjal, l'Antéchrist annonciateur des derniers temps de paix de l'humanité.
par M'hammedi Bouzina Med in le quotidien d'oran
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Qu’en pensez vous?